« Please don’t squeeze the Charmin ! »
Bien avant la création de leurs mascottes d’ours animés actuelles, le papier toilette Charmin de Procter & Gamble avait un autre porte-parole incroyablement iconique en la personne de M. Whipple. Faisant ses débuts en 1964, M. George Whipple passera plus de 20 ans à promouvoir la » douceur compressible » de Charmin et à devenir un personnage bien-aimé du paysage publicitaire.
Alors qu’il travaillait à l’agence Benton & Bowles, le publicitaire John Chervokas a créé la campagne de M. Whipple pour Charmin ainsi que le célèbre slogan » Please don’t squeeze the Charmin « . L’acteur Dick Wilson jouait le rôle de M. Whipple, un épicier coincé qui était déterminé à faire tout ce qu’il pouvait pour empêcher les clients de presser les emballages Charmin dans son magasin. Dans les premiers spots publicitaires, les femmes font l’éloge de la texture douce et coussinée et de l’odeur parfumée du papier toilette. Même si un panneau leur disait de ne pas le presser, comment pouvaient-elles résister à la douceur de Charmin ?
Alors que M. Whipple gagnait en popularité, son personnage a intensifié ses tactiques pour empêcher les clients de presser les paquets Charmin. Il a fait appel à un cow-boy avec un lasso, a embauché des employés pour surveiller le présentoir de la marque et a substitué des animaux en peluche que les clients pouvaient presser à la place. Il a même décerné à une cliente le « Whipple Willpower Award » pour ne pas avoir pressé les paquets – ce qu’elle faisait peut-être encore dans son dos…
https://www.youtube.com/watch?v=WTDSmSou66U
Après 21 ans et plus de 500 apparitions publicitaires, Dick Wilson s’est retiré du rôle de porte-parole de Charmin. Cependant, en 1999, il sortira de sa retraite pour partager la nouvelle du Charmin plus épais et plus fort que jamais avec les publics du monde entier. « C’est plus que simplement doux à presser ! »
L’année suivante, Wilson a reçu un prix pour l’ensemble de sa carrière par P&G. Wilson est décédé en 2007 et Charmin lui a fait un dernier adieu. Merci pour les souvenirs, M. Whipple.